
Dear, you.
Je pensais ton fantôme loin dans ma tête, très loin de mon coeur, presque disparue en réalité. Tu sais je pensais que plus jamais tu ne viendrais hanté mes pensées, et pourtant. Je me dis forte, mais je suis faible, comme toutes ces filles qui pleurent tard le soir, qui n'en dorment pas la nuit. Je ne suis pas forte, cette fois ci.. Je pensais te connaître depuis les années, malgré ce fossé qui c'est creusé entre nous, encore une fois tu m'as déçu et oui encore. Mes pensées et mes émotions se mélangent, ma tête me dis de penser à la vie que j'ai aujourd'hui, mon coeur lui aussi aime sa vie plus que tout. Et au fond mon coeur te réclames, tu as peut-être raison, et si je me voilais la face? Mon corps te demandes, il demande tes caresses sur ma peau, mes lèvres demandent les tiennes, mes yeux veulent voir ton sourire. Mais la raison me rappel à l'ordre, me rappel mes blessures les plus profondes et me raisonne. Tu es la chose la plus horrible et à la fois la plus merveilleuse.
" j'étais heureux à l'époque et le bonheur rend distrait " Marc Levy